Née de la nécessité d'un port accessible en Grande-Terre, dominée alors par l'économie de la canne, Pointe-à-Pitre aujourd'hui sous-préfecture, est aussi le poumon économique de l'île. Les maisons bourgeoises à galetas en fer forgé côtoient les immeubles en béton et les cases en bois.
Comme tout grande ville, elle est surpeuplée et n'a pas ce cachet caractérisque aux bourgs de la Grande Terre.